La Roche-en-Ardenne – C’était déjà ma troisième participation au Trail des Fantômes. Après avoir testé les formats plus courts, j’ai disputé cette fois mon premier 22 kilomètres. L’histoire retiendra que ma montre s’est arrêtée et que je n’ai donc pas pu conserver les chiffres précis de « ma plus longue ».
C’est après quelques kilomètres, dans le bouchon formé au passage d’un tronc d’arbre couché en travers d’un chemin, que ma montre s’est arrêtée. Je ne l’ai remarqué que quelques kilomètres plus loin, ce qui a provoqué sur le coup la déception très passagère de ne pas disposer à l’arrivée des chiffres précis de ma course. Qu’importe.
Le Trail des Fantômes reste un des événements que je n’ai pas envie de manquer sur la saison. La région est particulièrement agréable et les chemins dans les bois offrent un terrain de jeu que j’apprécie tout particulièrement. Trois passages à gué agrémentaient le parcours. J’adore ces traversées. Mais que dire du « mur de Maboge » ? Après le ravito, c’est la difficulté principale de la course, avec une montée qui n’en fini jamais est des passages à forts dénivelés. C’est comme un exploit d’arriver au bout. Dedans, on se dit qu’on ne le fera plus jamais. Mais l’année suivante, on rêve de l’attaquer une nouvelle fois.
Je termine en 3h15 ce 22 kilomètres et 940 mètres de dénivelé positif. 251e sur 315 participants.
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